Abstract

Les ressources qui répondent aux besoins fondamentaux doivent avoir une gouvernance participative, quelque soit leur propriétaire. (Commission Rodotà et Cour suprême italienne s'appuyant sur Elinor Ostrom, prix Nobel). Exemples : le désinfectant open-source pour les mains permettent de sauver 8 millions de vies par an ; les scanners IRM open-source pourraient économiser 60-140 millions € par an rien qu'en Allemagne ; les prothèses en source ouverte mobilisent 30000 bénévoles avec un modèle d’affaires à zéro euro ; l'Open source drug discovery (médicaments en source ouverte) rassemble 110 projets sur les maladies négligées ; les eux pour la santé en source ouverte offrent un modèle ludique pour prendre soin. Cela est vital car : 1) la santé requiert de mettre en communs : 2) cela peut doubler l'accès aux soins ; 3) cela permet de lutter contre la corruption systémique ; 4) les coûts peuvent être divisés par 10 ou 100. Ressources supplémentaires : rappel des définitions (libre et en source ouverte vs gratuit) ; trois étapes pour débuter (objectifs, principes de conception, validation) ; grille d'auto-évaluation (santé, personnes, processus, licences, allocation des ressources, disponibilité physique, impact) ; liens vers un guide pour makers, affiche avec d'autres exemples.